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DEUX FRANÇAIS CONTRE UNE VILLE


Il ne resta plus qu’à se laisser glisser. (Page 140.)

eussent été si graves pour Stahlstadt, qu’en bonne logique l’hypothèse était inadmissible. Mais il s’était dit encore que la haine ne raisonne pas, et que la haine exaspérée d’un homme tel que Herr Schultze devait, à un moment donné, le rendre capable de tout sacrifier à sa passion. Quoi qu’il en pût être, cependant, il fallait rester sur le qui-vive.

À sa requête, le Conseil de défense rédigea immédiatement une proclamation pour exhorter les habitants à se tenir en garde contre les fausses nouvelles semées par l’ennemi dans le but d’endormir sa vigilance.

Les travaux et les exercices poussés avec plus d’ardeur que jamais, accentuèrent la réplique que France-Ville jugea convenable d’adresser à ce qui pou-