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En vain la harde voulut franchir la lisière. Les arbres étaient si pressés qu’elle ne put se frayer passage, et ils étaient de telle dimension qu’elle ne parvint pas à les renverser. En vain les trompes se glissèrent à travers les interstices, en vain les derniers rangs poussèrent les premiers…

Les fugitifs n’avaient plus rien à craindre des éléphants, auxquels la grande forêt de l’Oubanghi opposait un insurmontable obstacle.