dans cet abominable Spring Grove de Cincinnati, et le Pavillon Indigo ne s’abaisserait pas, cette fois, devant la majesté d’un porc phénoménal.
D’ailleurs John Milner fut, dès le début, rassuré à ce sujet. Les journaux de Philadelphie avaient annoncé à grand fracas d’articles que l’État de Pennsylvanie devait attendre la prochaine arrivée du deuxième partenaire dans les quinze jours compris entre le 31 mai et le 14 juin. Les agences de paris s’en étaient mêlées. Les courtiers avaient chauffé le monde des joueurs en faveur de Tom Crabbe, établissant qu’il avait l’avance sur tous ses concurrents, calculant qu’il lui suffisait de deux coups heureux pour atteindre le but… etc., etc…
Et, lorsque le lendemain, Tom Crabbe, à travers les rues les plus fréquentées de la ville, fut promené par son entraîneur, combien il aurait eu lieu d’être satisfait, s’il avait su lire !
Partout des affiches gigantesques, dans le genre, il est vrai, de celles qui concernaient le porc de Cincinnati, — avec le nom du deuxième partenaire en lettres d’un pied de haut, et des points d’exclamation l’escortant comme une garde d’honneur, sans parler des prospectus distribués par les vociférants courtiers des agences !
et X K Z !!!