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LE SUPERBE ORÉNOQUE.

Et pourtant, ce pékin, Jean n’hésita pas à lui répondre :

« Ce qu’allait faire le colonel, monsieur, je l’ignore… C’est un secret que nous découvrirons, si Dieu nous permet d’arriver jusqu’à lui…

— Quel lien vous rattache donc au colonel de Kermor ?… demanda le gouverneur.

— C’est mon père, répondit Jean, et je suis venu au Venezuela pour retrouver mon père ! »