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LE SUPERBE ORÉNOQUE.

Là se firent les adieux, là furent échangées les dernières poignées de main, là on promit de se revoir au retour, et M. Manuel n’oublia pas de dire :

« À propos, monsieur Helloch, et vous aussi, monsieur Paterne, lorsque vous rejoindrez les compagnons que vous avez laissés à San-Fernando, tous mes compliments à M. Miguel ! Quant à ses deux amis, toutes mes malédictions, et vive l’Orénoque ! — bien entendu le seul… le vrai… celui qui passe à Danaco et arrose les rives de mon domaine ! »