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LE SERGENT MARTIAL ET SON NEVEU.
Le sergent Martial et Jean de Kermor.


— Bonsoir, Jean !

— Bonne nuit, mon ami, mon seul ami ! — À demain, et que Dieu nous protège ! »

Le sergent Martial se dirigea vers la porte, l’ouvrit, la referma avec soin, s’assura que Jean tournait la clef et poussait le verrou à l’intérieur. Quelques instants il resta immobile, l’oreille appuyée contre le panneau. Il entendit Jean, qui, avant de se mettre au lit,