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LE SUPERBE ORÉNOQUE.

quelques péons, les accompagna jusqu’aux falcas, dont les équipages dormaient d’un sommeil profond.

Au moment où ils allaient se quitter, l’Indien ne put s’empêcher de dire, par allusion à Jorrès :

« Je suis pourtant sûr d’avoir vu cet Espagnol aux environs du rancho…

— Pourquoi s’en cacherait-il ?… demanda Jean.

— Il n’y a là qu’une ressemblance, mon brave Indien », se contenta de répliquer Jacques Helloch.