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M. Jean était debout devant Mlle de Lauranay. (Page 77.)


quoiqu’il fût douteux qu’un officier consentît à se commettre avec un bourgeois comme lui !

Enfin, je parvins à le contenir, après lui avoir fait comprendre que sa démarche risquait de tout compromettre.

M. Jean se rendit. Il me promit de ne plus s’arrêter aux propos du lieutenant, quels qu’ils fussent, et ne s’occupa que des formalités de son mariage.