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journal du passager j.-r. kazallon.
en Dieu. Certes, en s’aventurant sur la mer, l’homme fait un emploi remarquable des qualités que la nature lui a départies ; mais, sur cet Océan sans bornes, quand les éléments se déchaînent, il sent combien est fragile le navire qui le porte, et combien lui-même est faible et désarmé ! Aussi, je pense que la devise du marin devrait être celle-ci : Confiance en soi, et foi en Dieu !
— Rien n’est plus vrai, monsieur Letourneur, ai-je répondu. Aussi, je crois qu’il est bien peu de marins dont l’âme soit obstinément fermée aux impressions religieuses ! »
En causant ainsi, nous examinons avec soin les roches qui forment la base de l’îlot, et tout nous convainc que son origine est récente. En effet, il n’y a pas un