« Eh bien, monsieur Manoel, en remplaçant chaque lettre par la lettre qu’elle occupe dans l’ordre alphabétique en le descendant suivant la valeur du chiffre, j’obtiens ceci :
l | moins | 4 | égale | p |
e | - | 2 | = | g |
j | - | 3 | = | m |
u | - | 4 | = | z |
g | - | 2 | = | i |
e | - | 3 | = | h |
et ainsi de suite.
« Si, par la valeur des chiffres qui composent le nombre en question, j’arrive à la fin de l’alphabet, sans avoir assez de lettres complémentaires à déduire, je le reprends par le commencement. C’est ce qui se passe pour la dernière lettre de mon nom, ce z, au-dessous duquel est placé le chiffre 3. Or, comme après le z, l’alphabet ne me fournit plus de lettres, je recommence à compter en reprenant par l’a, et dans ce cas :
z | moins | 3 | égale | c |
« Cela dit, lorsque j’ai mené jusqu’à la fin ce système cryptographique, commandé par le nombre 423, — qui a été arbitrairement choisi, ne l’oubliez