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VANDERGAART-KOPJE.

L’un d’eux hissait les seaux de terre. (Page 42.)


soleil dans ses yeux bleus ! Non ! On n’aurait jamais pu croire qu’ils avaient passé la matinée à pleurer.

D’un accord tacite, on évita, d’ailleurs, toute explication sur l’attristante scène du matin. Cyprien restait, c’était évident, et, en somme, c’était l’essentiel.

Le jeune ingénieur partit donc d’un cœur léger, afin de faire ses préparatifs de déménagement, n’emportant au surplus que quelques habits dans une légère valise, car il comptait s’établir sous la tente, au Vandergaart-Kopje, et ne revenir à la ferme que pour y passer ses moments de loisir.