Page:Verne - L’École des Robinsons - Le Rayon vert.djvu/164

Cette page a été validée par deux contributeurs.
152
l’école des robinsons

Il se courba jusqu’au sol… (Page 148.)

tuée par Godfrey, une épaule de mouton, accompagnée de camas et de yamph, suffirent à peine à calmer la faim qui le dévorait.

« Je vois que ce pauvre diable a bon appétit ! dit Godfrey.

— Oui, répondit Tartelette et on fera bien de surveiller ses instincts de cannibale, à ce gaillard-là !

— Allons donc, Tartelett ! Nous saurons lui faire passer le goût de la chair humaine, s’il l’a jamais eu !

— Je n’en jurerais pas, répondit le professeur. Il paraît que lorsqu’on y a goûté !… »