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dénouement.


Grâce au va-et-vient des embarcations… (Page 415.)
en ces parages lointains et à cette époque de l’année où se déchaînent les tempêtes équinoxiales.

Elle est donc bien faible, cette chance d’apercevoir quelque fumée se déroulant au-dessus de la ligne de ciel et d’eau, quelque voilure se découpant à l’horizon… Et, pourtant, vers deux heures de l’après-midi, le commodore Simcoë reçoit la communication suivante de l’une des vigies :