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l’île à hélice.


L’officier se tient prêt à faire hisser le pavillon. (Page 224.)
le canon de détresse et de manière aussi qu’il fût prêt à couler, lorsque l’embarcation de Tribord-Harbour aurait recueilli son équipage. Dès lors, la collision ne serait pas suspectée, on ne contesterait pas la qualité de naufragés à des marins dont le bâtiment viendrait de sombrer, et il y aurait nécessité de leur donner asile.

Il est vrai, peut-être le gouverneur ne voudrait-il pas les garder ? Peut-être les règlements s’opposaient-ils à ce que des étrangers