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KÉRABAN-LE-TÊTU.

Le capitaine maltais avait tout entendu. Il savait maintenant que, par une fatalité inconcevable, Ahmet s’était trouvé sur le lieu du naufrage de la Guïdare, au moment où Amasia allait périr !

Après avoir dépassé les dernières maisons de la bourgade, Yarhud s’arrêta au détour de la route.

« Le chemin est long d’Atina au Bosphore, dit-il, et je saurai bien mettre à exécution les ordres du seigneur Saffar ! »