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KÉRABAN-LE-TÊTU.

tion d’amour-propre !… Retarder ce mariage…, c’est l’empêcher, peut-être !… Mais… céder !… céder !… moi !… Ah ! qu’Allah me vienne en aide ! »

Et, sur cette dernière invocation, le seigneur Kéraban, emporté par une de ces colères qui ne peuvent plus se traduire ni par gestes ni par paroles, s’élança hors du salon.