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avoir une dernière fois fait appel au patriotisme de leurs frères, ils moururent sur l’échafaud.

Quand aux autres accusés, parmi lesquels se trouvait M. de Vaudreuil, soit qu’ils eussent paru moins compromis, soit que le gouvernement n’eût voulu frapper d’une peine capitale que les chefs les plus en vue, on leur fit grâce de la vie. Condamnés à la prison perpétuelle, ils ne recouvrèrent leur liberté qu’en 1829, lors-