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Un premier boulet emporta deux Canadiens.


apprirent que les royaux avaient été contraints de battre en retraite vers Sorel. L’impression produite par cette première victoire fut profonde. De toutes les maisons, portes largement ouvertes, les familles sortaient, en proie à une sorte de délire patriotique.

Il n’y en avait qu’une qui demeurât fermée, — Maison-Close, située au tournant de la grande route, par cela même un peu loin du camp.