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deux ans de vacances.

« Regarde ! » dit Briant. (Page 397.)


ces météores, sans pluie ni vent, qui n’en sont que plus terribles, car les nuages immobilisés se déchargent sur place de toute la matière électrique accumulée en eux, et souvent une nuit entière ne suffit pas à l’épuiser.

Costar, Dole, Iverson et Jenkins, blottis au fond de leurs couchettes, sursautaient à ces formidables craquements d’étoffes déchirées, qui indiquent la proximité des décharges. Et, cependant, il n’y avait