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deux ans de vacances.
Bien que ce jour-là fût un vendredi, Briant ne crut pas devoir – par superstition – attendre vingt-quatre heures. D’ailleurs, le temps était devenu propice, avec une jolie brise, constante et régulière, de nature à bien soutenir le cerf-volant. Grâce à l’inclinaison que lui assurait son balancier sur le lit du vent, il s’élèverait à une grande hauteur, et, le soir venu, on le ramènerait pour y attacher un fanal, dont la lueur resterait visible toute la nuit.