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deux ans de vacances.


Ils se glissèrent le long de l’étroite berge. (Page 118.)

Phann furetait en avant et faisait lever des bandes de tinamous, qui allaient se remiser à l’abri des bouquets de lentisques ou de fougères. Là poussaient des touffes d’une sorte de canneberge rouge et blanche et des plants de céleri sauvage, dont on pourrait faire un emploi très hygiénique ; mais les fusils devaient se garder de donner l’éveil, vu qu’il était possible que les environs du lac fussent visités par des tribus indigènes.