Page:Verne - César Cascabel, 1890.djvu/378

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
367
du fleuve obi aux monts ourals

Les loups épouvantés fuyaient… (Page 370.)

cevait déjà une vingtaine de loups, frappés mortellement ou grièvement blessés, qui jonchaient le sol.

Mais rien n’arrêtait la rage de ces fauves, et il ne semblait pas que leur nombre fût diminué. Plusieurs centaines remplissaient maintenant la clairière, agitée de silhouettes mouvantes.

Il y en avait qui se glissaient sous la voiture et essayaient d’en briser les panneaux avec leurs griffes. D’autres, après avoir sauté sur la