Page:Verne - César Cascabel, 1890.djvu/276

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
265
du 16 novembre au 2 décembre.

C’était un émerveillement. (Page 273.)

— Penseriez-vous donc, demanda Jean, que le défaut de parole est dû à un défaut d’intelligence ?

— Oui, certes, mon cher Jean, du moins chez les animaux supérieurs. Ainsi le chien possède un larynx identique à celui de l’homme. Il pourrait donc parler, et, s’il ne le fait pas, c’est que son intelligence n’est pas assez développée pour qu’il puisse exprimer ses impressions par la parole. »