Page:Verlaine - Romances sans paroles, 1891.djvu/34

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
24
ROMANCES SANS PAROLES


Triste à peine tant s’effacent
Ces apparences d’automne.
Toutes mes langueurs rêvassent,
Que berce l’air monotone.