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PROLOGUE


Ce sont choses crépusculaires,
Des visions de fin de nuit.
Ô Vérité, tu les éclaires
Seulement d’une aube qui luit.

Si pâle dans l’ombre abhorrée
Qu’on doute encore par instants
Si c’est la lune qui les crée
Sous l’horreur des rameaux flottants,