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Je caresse le dos nerveux,
Les flancs ardents et frais, la nuque,
La double mignonne perruque
Des aisselles, et les cheveux !


Ton cul à cheval sur mes cuisses
Les pénètre de son doux poids
Pendant que s’ébat mon lourdois
Aux fins que tu te réjouisses,


Et tu te réjouis, petit,
Car voici que ta belle gourle
Jalouse aussi d’avoir son rôle,
Vite, vite, gonfle, grandit,


Raidit… Ciel ! la goutte, la perle
Avant-courrière vient briller
Au méat rose : l’avaler,
Moi, je le dois, puisque déferle