Page:Verlaine - Fêtes galantes, 1891.djvu/31

Cette page a été validée par deux contributeurs.



EN PATINANT



Nous fûmes dupes, vous et moi,
De manigances mutuelles,
Madame, à cause de l’émoi
Dont l’Été férut nos cervelles.

Le Printemps avait bien un peu
Contribué, si ma mémoire
Est bonne, à brouiller notre jeu,
Mais que d’une façon moins noire !