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qui veut des merveilles…
Qu’il va jouer le drame
À l’Ambigu,
Ce qui cause à mon âme
Un mal aigu ;
Puisque, malgré son zèle
Et ses appas,
La pauvre demoiselle
Royer n’est pas
Assez portée aux nues
Tous les lundis,
Puisque des femmes nues
Que je maudis
Au sein du ministère
Vont bafouer
Cette sociétaire
Qu’il faut louer ;
Puisque Augier s’exile,
Puisque Hernani,
Ce bandit imbécile,
N’a pas fini
De souffler, pitre obscène,
Dans son vieux cor
Sur la première scène
Qui soit encor ;