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MÉMOIRES D’UN VEUF
I
La Victime, ruinée, couvre l’avoué roux d’un tas de coups de revolver, n’ayant pas d’autre arme sous sa main.
Envoi des clercs. On interroge ce client.
— Ça et ça ?
— Ça et ça.
— Alors pourquoi n’avoir pas tué votre femme, cause de tout, au lieu de M. Untel qui ne fut que son agent ?
— Parce qu’on ne fusille pas de la m....
Par un de ces hasards qui arrivent rarement,
la Victime s’est évadée du Dépôt des Condam-
25 janvier 1886.