une dame, celle-ci des plus distinguées, qui, séduite par les beautés du culte catholique vu à Rome, passe du pédantisme polytechnique d’une Mme Roland d’aujourd’hui, — sans la politique toutefois, — à des ambitions mystiques qui sentent un peu leur bas-bleu très foncé. Elle change de confesseurs pour cause de pas assez de sévérité dans leur direction, s’impose de sa propre autorité des pénitences féroces, prend le train de prières d’un fakir ou d’un quaker, mais à coup sûr pas d’une catholique, et dès lors il n’est pas étonnant qu’ayant passé toute sa vie de « convertie » — quelques mois ! — à faire tout le contraire de ce que ferait un simple fidèle humble et confiant, elle apostasie presque à la fin sous la pression d’un gendarme de frère, pour, sans transition, mourir ensuite, de joie et… d’apoplexie, parce qu’elle voit le Pape dans une audience obtenue !!! Je le répète, comme de pareilles absurdités déshonorent une littérature illustre et que ce serait dommage si Dieu n’y trouvait son compte dans la démonstration de l’efficacité de la seule Foi, de la seule sancta simplicitas pour la science des choses saintes !
M. Vallès me plaît beaucoup, et je le trouve très doux et très exquis en dépit de ses gamineries parfois insupportables et des coups de pis-