bien réfléchie de sa part, comme auteur, ces deux prêtres médiocres ne cèdent jamais, n’ont jamais tort devant leurs contradicteurs, d’ailleurs si misérables, non, mais ils rentrent trop sous le niveau de médiocratie et d’infatuation terre à terre dont l’auteur a fait l’atmosphère de ses romans modernes, pour ne point participer, disons le mot, à la sottise ambiante, et leur polémique à tous deux s’en ressent. C’est ainsi, pour ne citer qu’un exemple, qu’asticoté (c’est le seul mot juste, pris dans la plus littérale acception) asticoté, dis-je, par l’un des deux grotesques assez carrés et bien campés, il faut le reconnaître, par Flaubert dans son livre posthume, au sujet de la Sainte Trinité, l’abbé Jeufroy qui a sous la main et à la mémoire, lui prêtre quelconque, notez bien, les plus lumineuses et déterminantes réponses qui soient, celles de la théologie élémentaire, s’en tire par des cercles vicieux, des comparaisons boiteuses dont un tout petit séminariste, que dis-je, un enfant du catéchisme de mon village rougirait !… Un dernier grief, non le moindre, pour en finir avec Flaubert dans ses rapports d’écrivain avec l’Église, c’est la manière dont, à deux reprises différentes, entre autres âneries plus ou moins sincères, il parle de Sainte Thérèse ! On ne venge pas Sainte Thérèse, pas plus qu’on ne
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