tyrannique, vertus privées, Chose-publique, patrie, l’autre vie, hélas ! aussi. De la Religion, certes, les harmonies le charmeront. — (On dit qu’il aimait beaucoup et relisait sans cesse Chateaubriand ! Le Génie du Christianisme a dû enthousiasmer son enfance collégienne et garder prise sur sa jeunesse et jusque sur son âge mûr, de plus en plus rhéteur). — Il considérera dogmes, rituels, préceptes généraux, les grandes lignes extérieures du Christianisme avec les yeux satisfaits d’un amateur d’ordre parfait et d’omnipotence intellectuelle ; mais l’humble côté, le plus vraiment beau, même au point de vue de l’art et de la poésie suprêmes, le côté pratique, terre à terre, la conduite à la fois irréprochable et conciliante, les rapports si délicats de la charité avec le monde si méchant, tout l’immense savoir-faire infiniment petit du Christianisme lui échappera, de toute nécessité. Le Catéchisme aussi, malheureusement pour les sommets de son intelligence, le Catéchisme, méconnu, raillé, traîné dans les scies d’atelier et les propos de table, à son tour fuira cet esprit imprudent, sortira de cette mémoire bondée de tant de vanités, et, soleil d’évidence, ne viendra plus frapper qu’ironiquement ces prunelles brûlées aux sales lueurs de la chair et du monde, et qui seulement sentiront son feu, en souffriront
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