(ainsi que profère le vers-libriste Jean, lui aussi !
de La Fontaine récemment, lui aussi, odifié,
voire banqueté), déménagent à la queue leu leu,
non, quelques-uns, sans tirer celle des Intrus,
non, d’aucuns, sans le son discret d’une cloche
mal bénite au ligneux métal…
Oui, le Diable, das Teufel, the Devil, il Diavolo, el Diablo, comme vous voudrez et dans toutes Les langues que vous voudrez avec ou sans ses cornes, avec ou sans cette queue dont je viens de parler, oui, le Diable est de mise, suivant le terme des joueurs, et pour m’exprimer commercialement, « de défaite » en ces jours, pourtant, de scepticisme un peu bien poussé trop loin, entre nous, qui, en fait,
Je ne suis pas beaucoup plus grand clerc en
démonologie qu’en Théologie, en dépit de quelques
études à l’intention de cette dernière science,
ni, surtout, grâces aux dieux immortels ! qu’en
psy… psy… psychologie ; mais, bien qu’inexpert
aux tournois de tables ou de chapeaux, tant
hauts de forme que mous ou melons ou etc., tant
rondes que carrées, vel alias, je ne suis point