Elle voit par ses yeux et marche sur ses pas.
Elle attend et ne prévient pas.
Voici déjà la note grave.
Hélas, que ne pouvons-nous ne pas nous borner, au moment de finir cette étude. Que de merveilles locales et cordiales ! quels paysages arrageois et douaisiens, quels bords de Scarpe ! Combien douces, et raisonnablement bizarres (nous nous entendons et vous nous comprenez) ces jeunes Albertines, ces Inès, ces Ondines, cette Laly Galine, ces exquis « mon beau pays, mon frais berceau, air pur de ma verte contrée, soyez béni, doux point de l’univers. »
Il nous faut donc restreindre aux justes (ou plutôt injustes) limites que la froide logique impose aux dimensions voulues de notre petit livre, notre pauvre examen d’un vraiment grand poète. Mais — mais ! — quel dommage de ne vouloir que citer des fragments comme ceux-ci, écrits bien avant que Lamartine éclatât et qui sont, nous y insistons, du Parny