Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, IV.djvu/291

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
281
mémoires d’un veuf

devenir ce pauvre veuf-ci, de sa commisération et de son amitié, qui, poète, ai plus qu’eux le droit de m’intéresser à la manière d’être glorieux et glorifié de mon maître au tombeau, je le prends, le mien de jour, et c’est aujourd’hui, et je le répète, et je le suis Légion : Hugo est mort trop tard, il s’est survécu, mais son seul héritage sérieux est nôtre, et nous le défendrons, mes beaux messieurs du premier juin mil huit cent quatre-vingt-cinq !