Le reste de l’œuvre d’à partir des Châtiments, ne
vaut pas l’honneur d’être nommé ; et quand j’aurai
avoué qu’il y a des choses dans les Misérables,
cet arlequin, et dans Quatre-Vingt-Treize, laissez-moi
retourner au Victor Hugo de Pétrus Borel et de
Monpou !
Quelqu’un m’a, d’ailleurs très courtoisement, taquiné sur ce que j’avais nommé Hugo, l’auteur de Gastibelza-l’homme-à-la-Carabine, pour tout potage. D’abord, oui, il en est l’auteur, l’auteur il en est. Ensuite Gastibelza dépasse toute son œuvre. Il y a enfin là du cœur et des sanglots et un cri formidable de jalousie, le tout exprimé magnifiquement dans un décor superbe. Trouvez m’en un autre, de Gastibelza, dans tous ces volumes !
C’est qu’Hugo n’a jamais parlé d’amour que banalement ou en homme qui (du moins c’est ce dont témoignent ses écrits) fut toute sa vie envers les femmes un simple Pacha. « Tu me plais, tu me cèdes, je t’aime. Tu me résistes, va-t’en. Tu m’aimes pour mon nom, peut-être pour mon physique bizarre, pour ma tête faite ? Tu es ange. » Ni crainte, ni espoir, ni douleur, ni joie. Le bonheur du coq et son chant de cuivre après.
Hugo est mort. Ses détenteurs ont eu leur jour, échelles doubles et apothéose laïque. Moi qui connus l’homme dès avant 1870 et, quelque temps depuis, qui même eus à me louer, comme j’allais