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mémoires d’un veuf

désespoir de cause, bien qu’elle ait vu l’avoué roux promener plusieurs fois son veston de son cabinet particulier au clerc et retro, comprend que ça pourra durer longtemps ainsi. Elle dicte au clerc un mot de conciliation (il s’agit d’enfant cette fois) — et s’éloigne par un superbe escalier d’antique hôtel patrimonial.

Le lendemain une lettre fort polie, et si bellement écrite ! — le prie de vouloir bien ne pas « troubler la paix ».