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V
À William Heinemann.
Mon âge mûr qui ne grommelle
En somme qu’encore très pou
Aime le joli pêle-mêle
D’un ballet turc ou camaïeu
Ou tout autre, fol et sublime
Tour à tour comme en même temps
Surtout si vient la pantomime
S’ébattre en jeux concomitants,
Jeux de silence et de mystère
Que la musique rend déjà
Plus muets, et dont l’art va taire
Mieux le secret, qu’il ne lâcha
Qu’à l’oreille de Colombine
Ou de l’indolente Zulmé :
Pour l’amant, qu’il se turlupine
Donc à tort ! Puisqu’il est l’aimé !