Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, II.djvu/430

Cette page a été validée par deux contributeurs.
420
odes en son honneur


Et c’est enfin la nuque
Qu’il faudrait être eunuque
Pour n’avoir de frissons,
La nuque damnatrice,
Folle dominatrice
Aux frisons polissons
Que nous reconnaissons.

Ô nuque proxénète,
Vaguement déshonnête
Et chaste vaguement,
Frisons, joli symbole
Des voiles de l’Idole
De ce temple charmant,
Frisons chers doublement !