Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu/111

Cette page a été validée par deux contributeurs.


LE FAUNE


Un vieux faune de terre cuite
Rit au centre des boulingrins,
Présageant sans doute une suite
Mauvaise à ces instants sereins

Qui m’ont conduit et t’ont conduite,
— Mélancoliques pèlerins, —
Jusqu’à cette heure dont la fuite
Tournoie au son des tambourins.