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L’horloger regarda, d’un air navré,

Mais ne me fit aucun reproche.

Dorénavant, je regardai, les mains en poche.


Mais jour à jour, de plus en plus, les mouvements

Innombrables, indéfinis, tentaculaires,
Attirèrent mes yeux déments
En leurs vertiges circulaires,
Si bien que mon esprit,
Avec autant d’ardeur, plus tard, s’éprit
Des tumultes réglés, par les causes profondes

Qui font, dans le mystère, évoluer les mondes.