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Du bon prince venu d’Afrique.
Ses yeux de jais semblent partir,
Son regard d’une ombre se couvre,
Mais de la bouche qui s’entrouvre
« À quoi bon vivre, ami ; la porte
Et pour ton poing et pour le mien
Est close — et rien ne sert à rien,
Tu m’as distrait par ton soufflet
D’une posthume ardeur galante
Et d’une pose nonchalante…
Il est parti, le Valet rouge,
Tout à coup noir comme la nuit,
Avec un deuil si clos en lui,
On ne sait plus quel gars il fut,