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Et telle bouche avide et grosse
« C’est lui ! » — dont les baisers malsains
Se promènent, parmi des seins
Le beau valet, adroitement,
Met sa main preste, entre la lèvre
Et les fleurs de chair, dont il sèvre,
Grand tapage, fiévreux tumulte !
Les dames fuient à cet affront,
On s’interroge, on s’interrompt.
Il note chaque coup reçu ;
Et l’assaut vif, comme une étreinte,
Quand le valet attaque en quinte
Un coupé droit, ardent, lyrique,
Et l’épée âpre et nette atteint