Page:Verhaeren - Poèmes, t2, 1896.djvu/186

Cette page a été validée par deux contributeurs.
182
poèmes

Sans que sache celui qui passe,
Joyeux et clair dans la bonace,
Que le nocturne et angoissant domaine,
En deuil de sa maison d’ébène,
Où plus ne brûle aucun flambeau,
Renferme un mort et son tombeau