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Et leur patience à compter le temps,
Et l’égoïste et mécanique entêtement
De leurs manies !

Voici la nuit qui tombe et attise leurs maux ;
Voici leurs lents départs, comme les mots
Monotones des litanies,
Et leur silence, au fond du vieux dortoir,
Où les cierges éclaireront, un soir,
Leurs agonies.