Page:Verhaeren - Les Tendresses premières, 1904.djvu/77

Cette page a été validée par deux contributeurs.

L’air était vif ; l’espace était vibrant et sain ;
Sans la comprendre, on assaillait déjà la vie,
Par la belle aventure ardemment poursuivie ;
Et des rameaux d’espoir frissonnaient dans nos mains !