Page:Verhaeren - Les Plaines, 1911.djvu/73

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et doucement, dans le verger d’en face,
Un cerisier secoue au vent volant
Sa voûte ;
Si bien que les dernières gouttes
Tombent en même temps
Que l’éparpillement de ses pétales blancs.

Séparateur