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Dans la tranquille apothéose
Que lui feraient les simples choses ;
Il jouirait encor de la pure clarté,
Qu’incline sur la vie une aurore d’été,
Et de la douce pluie aux feuilles suspendue.

Et si, par un beau soir, du fond de l’étendue
S’en venait quelque couple en se tenant les mains
Le chêne allongerait jusque sur leur chemin
Son ombre large et puissante, telle qu’une aile,
Et la rose leur enverrait son parfum frêle.