Page:Verhaeren - Les Heures du soir, 1922.djvu/106

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et quand je te rejoins dans notre maison tiède

Que l’ombre et le silence encore possèdent,
Mes baisers francs, mes baisers clairs,
Sonnent, comme une aubade, aux vallons de ta chair.