Page:Verhaeren - Les Ailes rouges de la guerre, 1916.djvu/180

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Hélas ! le temps qui tout efface
Peut-être en aura fait disparaître la trace,
Et peut-être nos pas
La chercheront en vain dans le soir et l’aurore ;
N’importe, il nous sera plus cher encore
Si nous ne la retrouvons pas.